Coaching

Coaching x Valentin Teillet #1 – les fondamentaux de la préparation

Images: MyMotoCoaching

Multiple champion de France, champion d’Europe MX2 et SX2, et ex-performeur sur le circuit des Grands Prix, Valentin Teillet n’a plus besoin d’être présenté. Ces dernières années, Valentin a mis son expérience au service de nombreux pilotes à travers ses services de coaching, mais aussi de sa structure 737 Performance avec laquelle il a accompagné des talents vers le niveau international, dont un certain Mathis Valin vers un titre de champion du monde Junior.

Aussi à la tête de la plateforme MyMotoCoaching, Valentin Teillet se joint à DailyMotocross pour animer une rubrique durant l’intersaison, à travers laquelle il partagera son expérience, ses conseils et ses analyses. Autant d’outils qui vous permettront d’optimiser votre préparation durant la période dite hivernale, dans le but d’atteindre vos objectifs en 2026. Préparation, planification, programmes physiques, travail technique, approche mentale et astuces en tout genre, voilà ce que vous retrouverez dans cette rubrique fait par des passionnés, pour les passionnés.

Premier épisode: les fondamentaux de l’intersaison.

Faire un break, un vrai.

Valentin Teillet : Avant même de penser à attaquer la préparation d’intersaison, il faut découper cette dernière en périodes. La première période, qui est indispensable, c’est une période de coupure de la moto qui va permettre de s’aérer un peu, aussi bien physiquement que mentalement.

Une saison de compétition, c’est long. Cette période de coupure est primordiale à tous les niveaux. Souvent, les pilotes n’arrivent pas à le comprendre. Avec mes pilotes, je mets un point d’honneur là-dessus. Après une grosse saison, c’est trois semaines sans moto ! Souvent, ils ont la peur – ou l’impression – qu’ils vont régresser, perdre du niveau. C’était d’ailleurs l’impression que j’avais à l’époque en tant que pilote. Cette impression est fausse, et cette pause permet vraiment de s’aérer. L’envie de retourner rouler est encore plus importante par la suite, et la motivation au beau fixe.

Notre sport est très physique. Notre corps est très sollicité au fur et à mesure d’une saison. Sans même qu’on ne s’en rende compte, on se blesse. On parle de blessures de fatigue, de microfractures qui passent inaperçues durant la saison. Il m’est arrivé de passer des radios et qu’on me dise : « Monsieur Teillet, vous avez le radius fracturé. » Pourtant, je n’étais pas tombé.

À un moment donné, le corps est épuisé, musculairement, psychologiquement, et sans qu’on ne s’en rende compte. Les neuro-réflexes ne sont plus aussi bons qu’en début de saison.

Repartir frais est important, car la fraîcheur apporte aussi la motivation. Aujourd’hui, le premier point décisif dans la performance en MX, c’est la motivation. Donc cette période de pause est importante – même si on ne l’apprécie pas forcément sur le moment.

Mettre l’accent dès la reprise.

Valentin Teillet : La seconde période qui est importante dans l’intersaison, c’est celle qui suit ce break : on parle alors de la reprise. C’est la période où on va se faire du mal. On pratique l’un des sports les plus difficiles du monde. Si un pilote veut se préparer correctement et progresser — peu importe son niveau — il doit comprendre qu’il va devoir passer par une période durant laquelle il va se faire du mal, physiquement comme mentalement.

On entend souvent dire « il faut que tu sois en confiance ». Pour être en confiance, il faut savoir qu’on a fait le boulot pendant la préparation. Les trois à quatre premières semaines après la pause sont importantes. On va aller rouler dans des conditions difficiles, on va faire des manches très longues, on va faire de longues sorties footing, de longues sorties vélo.

C’est à cette période-là que le corps est le plus à même d’encaisser et, si tu ne vas pas chercher le dépassement de toi-même à ce moment-là, tu auras bien du mal à te forger ce caractère de champion. Certains parents me disent : « Le problème de mon fils, c’est qu’il n’a pas de mental. » Le mental, selon moi, tout le monde peut l’avoir, car ce n’est pas quelque chose d’inné. Personne ne naît avec un gros mental : il se forge, se construit. J’ai travaillé avec des pilotes qui n’avaient pas de mental au début, et qui ont montré une force mentale incroyable à la fin de notre collaboration. Ce qui est important, c’est de se surpasser, d’aller chercher la satisfaction personnelle en se dépassant. Quand tu fermes la porte du camion après une séance moto, que tu rentres après une sortie vélo ou un footing, il faut que tu sois en mesure de te dire : « Put*in, je l’ai fait. »

Beaucoup de sports ont mis l’accent sur le mental. En motocross, c’est encore trop souvent délaissé. Le mental représente 90 % de notre réussite.

Suivre une chronologie, une ligne de conduite.

Valentin Teillet : Ce qu’il est aussi important d’assimiler, c’est qu’il faut suivre une chronologie. Il faut suivre un programme, s’y tenir, y croire. Mentalement, ça te servira puisque tu te sentiras prêt au terme de ta préparation. Si tu n’as pas de chronologie, de plan fixé, tu seras dans le flou. J’ai du mal à comprendre comment un pilote qui se prépare sans programme, sans chronologie, sans souci du détail, arrive en début de saison en disant « je suis prêt ». Aujourd’hui, un professeur des écoles met en place une chronologie dans son travail d’enseignement pour être efficace. Quand on est pilote de motocross, c’est pareil.

Je fais aussi beaucoup de coaching de pilotes qui me disent faire de la moto pour le plaisir. Or, s’ils viennent faire des stages, c’est qu’il y a tout de même une recherche de performance, de progression. Ils n’y arriveront qu’avec cette programmation chronologique. Je pense qu’on est encore très en retard dans notre sport dans ce domaine.

Si je vais sur un terrain et que je demande : « Les gars, vous faites quoi aujourd’hui ? », on va me répondre : « Je vais faire quelques tours, voir comment je me sens, et j’aviserai. » Avec cette approche, on va droit dans le mur.

Si on recherche le plaisir, la simplicité et qu’on évite de se faire mal, il n’y aura pas de progression. C’est un peu comme la personne qui va courir un marathon. Sur le moment, ce sera plus de souffrance que de plaisir. Le plaisir, c’est la satisfaction d’avoir réussi, d’avoir accompli quelque chose.

Selon moi, si tu ne te fixes pas d’objectif à accomplir, tu progresseras toujours beaucoup moins vite. On ne te demande pas de faire cinq heures de sport par jour, mais d’avoir une certaine ligne de conduite pour te donner les meilleures chances de performer et de progresser, selon ton niveau de pratique.

Pour la petite anecdote : quand je suis arrivé en Belgique en 2009, Ken Roczen était là, dans un camping-car, avec son père. Il était hyper structuré, il faisait beaucoup de sport. Il était déjà dans une démarche de pilote professionnel. Tout le monde était étonné de le voir capable de gagner des GP à 14 ans. En repensant à son rythme de vie de l’époque, je ne suis pas étonné. Le danger, par contre, c’est de ne pas trouver le juste milieu et d’occulter tout le plaisir. Il n’y a pas de science infuse à ce niveau-là. C’est au pilote de trouver son juste milieu, en faisant attention à ne pas confondre juste milieu et complaisance face aux difficultés.

Savoir se remettre en question.

Valentin Teillet : Je structure le motocross en cinq points importants. Le premier point, c’est le point technique. Si tu n’as pas de technique en motocross, tu ne pourras pas aller chercher de la vitesse. Tu finiras par te faire mal, tu perdras du temps, tu n’auras pas confiance, ; ce sera un cercle vicieux. Il faut être en mesure de se poser la question franchement : est-ce que ma technique est cohérente avec mon niveau de pratique ou mes ambitions ?

Le deuxième point, c’est le point physique. Si tu veux aller vite en motocross, il faut être en mesure de tenir sa moto sur la durée. Il faut être prêt sur le plan physique, et ça viendra compléter le premier point : la technique.

Le troisième point, c’est celui qui vient avec la technique et le physique : c’est l’aspect mental. Quand tu as le physique et de la technique, tu as confiance en toi. À partir de là, tu auras une facilité à développer ta force mentale. Quand la technique et le physique sont acquis, on ajoute une dimension mentale à notre programmation/préparation.

Le quatrième point, c’est l’aspect tactique. Aujourd’hui, en motocross, on a besoin de rechercher des trajectoires, d’analyser un saut pour le sauter, d’analyser l’endroit où on va faire une différence, tenter un dépassement. On va établir une stratégie, se dire : « Pourquoi choisir cette grille de départ et pas une autre ? ». On va choisir de partir avec des tear-offs plutôt que des roll-offs, décider du nombre de tear-offs pour la meilleure vision, etc. Il y a de nombreux points stratégiques à étudier, points que les pilotes de haut niveau ne laissent jamais au hasard.

Le cinquième et dernier point, c’est le point mécanique. Une moto qui fonctionne bien, qui est bien réglée pour soi, c’est la base de ce qui permet de performer.

Le premier axe de travail quand on entame cette démarche – positive – de remise en question et de progression, c’est le point technique. On veut développer de l’aisance, de la mobilité, des automatismes avec la bonne technique. On peut faire des jeux techniques, se lancer des challenges aussi. En tant que compétiteurs, ces challenges sont intéressants. Avec mes pilotes, je développe beaucoup la technique au travers de jeux.

Dans mon coaching, je ne demande pas à mes pilotes de faire des passages pour faire des passages. Il y a un objectif à la clé, objectif qu’on se fixe dès le départ de l’atelier. On va, par exemple, se dire : « On doit faire cinq passages propres consécutifs », et si tu te loupes au quatrième passage, tu recommences de zéro. Sur ce genre d’exercice, un Mathis Valin, à l’époque, pouvait se retrouver à faire cinquante passages. Ce sont des exercices, mais sous forme de défi. Amener du défi à un pilote de motocross, c’est aussi renforcer son côté compétiteur.

Attention à la précipitation.

Valentin Teillet : Bien souvent, la plus grosse des erreurs, c’est de tenter d’aller chercher de la vitesse avant même de s’intéresser à la technique. Il m’arrive souvent de voir des pilotes qui me font peur à l’entraînement. Dans notre sport, on n’a pas le droit à l’erreur, car cette dernière est lourde de conséquences.

Aujourd’hui, aller chercher de la vitesse en motocross, c’est très simple. Il faut réaliser que n’importe qui est capable de tourner la poignée d’une moto à fond, même quelqu’un qui n’en a jamais fait. La différence avec un pilote qui a une technique solide ? C’est combien de temps il va être en mesure de le faire avant de se blesser.

Voilà l’un des dangers à éviter : essayer d’aller trop vite et essayer de faire le plus de bruit en négligeant le travail technique. Les plus grosses progressions que j’ai vues dans ma carrière de coach ont été réalisées par des pilotes qui ont compris qu’il fallait chercher la technique avant la vitesse. Parce que la vitesse viendra naturellement quand la technique sera au point.

En stage de pilotage, je ne triche pas avec le sport, ni avec le niveau de mes pilotes. S’il faut remettre les choses à plat parce que ça ne va pas, on le fait. Si j’ai des pilotes qui vont trop vite pour leur technique, qui me font peur, qui n’adoptent pas les bonnes positions, je les arrête et je leur dis. Ils ne le prennent pas mal, au contraire. La démarche quand on décide de participer à un stage, c’est une démarche de progression. J’ai le compliment très difficile, et mes élèves le savent. Par contre, un pilote qui optimise, qui est à l’écoute, qui s’applique, voit des résultats à la fin. J’ai vu des pilotes passer de vrais caps très rapidement. Mais je ne triche jamais avec eux.

Ce que je reprends le plus souvent en stage de pilotage, c’est la position debout. Très peu de pilotes savent réellement piloter leur moto en étant debout. Les genoux passent rapidement en avant, les épaules partent vers l’arrière. La position debout devient inconfortable, difficile, et ils privilégient le plus souvent la position assise. Assis, en motocross, on ne roule pas, à part pour tourner. La — mauvaise — position debout les met en difficulté. Ils se retrouvent en tension musculaire, ils luttent. Quand ils comprennent et adoptent la bonne posture, la progression démarre réellement et dans le temps.

Un jour, j’ai eu un pilote qui m’a dit que sa moto marchait trop fort pour lui. Il n’y arrivait pas. Il avait tenté de mettre des petites couronnes, d’assouplir la moto, il se faisait emporter dans tous les virages. On s’est rendu compte qu’il était assis au milieu de la selle, les épaules complètement en arrière. Il était pertinemment dominé par la moto. À chaque fois qu’il accélérait, il était à bout de bras, et il ne contrôlait plus rien. On a ajusté et corrigé tout ça, et en fin de journée, c’était le jour et la nuit. Il avait suffi de corriger une position et d’ajuster un placement d’épaules.

Comprendre les spécificités liées à son sport.

Valentin Teillet : Aujourd’hui, il n’y a pas grands champions sans un entraîneur derrière. Dans la moto comme dans les autres sports, même ceux qui nous paraissent assez peu techniques en comparaison avec le nôtre. Chaque sport a ses spécificités techniques qu’il faut maîtriser. Or, en motocross, on manque d’entraîneurs.

Malheureusement, le motocross est un sport coûteux. Il est donc difficile de se dire : « Je viens d’acheter une ligne d’échappement à 1 000 €, je vais maintenant mettre 500 € par an dans du coaching. » Pourtant, notre sport demande d’être accompagné pour limiter les blessures, pour prendre du plaisir, progresser, performer. C’est un sport qui procure des sensations incroyables à partir du moment où l’on est en mesure de le maîtriser. Souvent, on oublie cet aspect.

Quand j’ai débuté la moto, j’adorais retranscrire, appliquer ce que je voyais. Je regardais énormément de cassettes vidéos à l’époque : les Terrafirma, les vidéos de coaching américaines de Gary Semics, de Travis Pastrana, les Mini Warriors. Mon père avait un magasin de moto, et je pleurais pour avoir les vidéos qu’il vendait !

C’est fou, mais j’ai appris la technique en regardant des vidéos. J’ai appris à scrubber grâce aux vidéos de James Stewart en 2004. Je regardais ce qu’il faisait, et je me disais : « Je vais faire pareil. » À l’entraînement, je prenais le temps, j’essayais de bouger mon cul sur la moto. Ça ne ressemblait à rien, mais j’essayais. Mon père me prenait en photo ; la vidéo n’existait pas encore vraiment à l’époque.

Comme tout le monde, j’ai fait mes erreurs. Et j’ai fait la pire des erreurs : j’ai voulu aller trop vite par rapport à ma technique. Je me suis blessé à cause de ça, à cause de ma précipitation. L’adrénaline que je ressentais en moto m’a fait faire de mauvais choix, des conneries. À vouloir en faire trop, tu finis par perdre deux mois avec une blessure.

Par la suite, ma technique était bonne, mais j’aurais aimé développer un peu plus mon physique, parce qu’au bout du compte, l’un ne va pas sans l’autre. Je manquais de physique, et j’allais vite en me reposant uniquement sur ma technique. Le physique ne suivait pas, et ça me limitait. Je suis passé pro à 16 ou 17 ans, et je n’avais pas vraiment de structuration non plus à l’époque. Avec le recul, j’aurais aimé être mieux encadré à ce moment-là, car ma carrière aurait peut-être été différente.

On ne m’a jamais trop dit de faire du sport, de faire des manches à l’entraînement. Ce n’était pas quelque chose de naturel pour moi. D’ailleurs, quand je suis arrivé en Belgique dans mon premier team officiel, je ne comprenais pas pourquoi on me faisait faire des manches à l’entraînement. Pour moi, les manches, c’était le jour des courses.

Faire une sortie vélo de trois ou quatre heures, ça te prépare mentalement. Tu prépares ton cerveau comme ton corps à un effort physique, dans la longévité. Je connais assez peu de pilotes non professionnels qui font des manches à l’entraînement, en prenant les chronos, en se panneautant. On est assez en retard dans notre structuration. Je me suis, par exemple, structuré à 23 ou 24 ans. C’était beaucoup trop tard.

Physique, physique, et encore physique !

Valentin Teillet : Malheureusement, tout le monde ne pourra pas avoir la technique parfaite en motocross. Par contre, et je l’ai toujours dit, tout le monde peut avoir le physique. Aujourd’hui, la plus grosse marge de progression des pilotes, c’est sur le plan physique.

Pourquoi ? Parce qu’il n’y a pas besoin d’être talentueux pour se construire une condition physique. Ce n’est qu’une question de volonté. C’est à portée de tout le monde. Il suffit d’enfiler sa paire de chaussures, de sortir son vélo du garage.

Un pilote peut me dire que le travail technique est difficile, que le geste de l’amorti est trop compliqué pour lui. Je l’entends tout à fait. Par contre, que personne ne vienne me dire qu’il est difficile de travailler le physique.

Un pilote qui n’a pas le physique de ses ambitions sportives ne peut s’en prendre qu’à lui-même. S’il ne prend pas le temps ou ne fournit pas les efforts nécessaires, qu’il n’a pas la volonté ou la motivation, il se pénalise tout seul. C’est même frustrant parfois, pour moi, car c’est vraiment l’un des aspects les plus simples à travailler et je vois des pilotes passer à côté de leurs objectifs par manque de volonté.

Avec mon expérience et le nombre de personnes que je vois passer en coaching, je peux dire que beaucoup font du motocross sans avoir la condition physique qui leur permettrait de prendre réellement du plaisir. Ils vont prendre du plaisir sur un tour, peut-être deux, et ça deviendra vite dangereux, car ils seront — physiquement — limités et mis en difficulté. C’est un gros pourcentage. Alors un conseil, faites du physique !

À chaque sport, son entraînement adapté.

Valentin Teillet : Attention à ne pas rentrer dans un cercle de contre-productivité. Un exemple serait de déléguer son entraînement physique à des personnes extérieures au motocross, qui ne connaissent pas notre sport.

On me dit souvent : « Je travaille avec un super coach. » Malheureusement, quand je leur demande s’ils connaissent le motocross, ils me répondent que non. Je ne remets pas en cause leur travail de coach. Ils sont sûrement très bons dans leurs domaines de connaissances, mais chaque sport est spécifique et nécessite un entraînement adapté.

Le problème le plus récurrent, c’est le mal aux avant-bras. Aujourd’hui, tu dois avoir un pilote sur trois qui contracte le syndrome des loges en motocross, et qui doit se faire opérer. Sauf qu’en 2025, on a encore des coachs qui pensent qu’il faut faire travailler les bras et les avant-bras pour rouler en motocross. Or, on les développe déjà énormément, et on les sollicite beaucoup en embrayant, en accélérant, en freinant, en tenant le guidon. Ceux qui ne connaissent pas le motocross et qui font travailler les biceps et les avant-bras vont droit dans le mur. Et bien souvent, on retrouve des programmes physiques qui comprennent ces entraînements des avant-bras. C’est d’ailleurs un sujet délicat, car on se retrouve souvent en porte-à-faux avec des entraîneurs qui se disent : « Il est culotté, ce Valentin. »

Aujourd’hui, s’il est acquis que le travail physique doit être adapté à tous les sports et à leurs spécificités, pourquoi ne le serait-il pas avec le motocross ?

À très vite, pour le prochain épisode de Coaching !

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